[RP] Que l'histoire commence...

Rappel du premier message :

John n'est pas condamné dans cette histoire. Il est d'ailleurs même possible qu'il soit sauvé. Une greffe périlleuse certes, mais possible.
Pour cela, il décide de mettre à l'épreuve deux chirurgiens, qui ont la possibilité de le greffer, mais aussi d'être le donneur de greffon.
L'un est un ancien drogué, qui prenait les doses de morphine de la clinique pour lui, du temps qu'il était interne. Cependant, un jour, sa conduite a causé la mort d'un patient, et de nombreux autres accidents qui ont amenés des patients à souffrir inutilement. Dès lors, il cesse la drogue mais n'est jamais puni pour ses actes.
Le second est un homme qui revend les organes des patients décédés lors de chirurgies au marché noir pour recevoir d'importantes sommes d'argent.
Le premier homme est allongé dans une pièce à -15 degrés, vêtu uniquement d'un jean simple. Il y réside depuis plus de 45 minutes et commence à reprendre conscience. Un second homme est également dans la pièce, mais adossé contre un mur. Il possède encore ses vêtements -un pull et un pantalon chaud- mais souffre lui aussi de la température, ne possédant pas des vêtements adaptés.
Le second homme a un poison qui coule dans ses veines, qui finira par causer une paralysie des membres dans 45 minutes. L'antidote se trouve dans le ventre de son compagnon d’infortune, à côté d'une poche de poison. En se sauvant, il causera l'empoisonnement de l'autre personne, et donc pourra être sauvé. Il dispose d'un scalpel chirurgical. Cependant, les deux hommes ont les jambes brisées...
Qui sera assez fort pour survivre ?

John

* regarde la porte sachant qu'ils vont appeler la police

L'infirmière

* raccroche

John

* regarde la porte sachant qu'ils vont appeler la police

L'infirmière

* attend

John

* regarde la porte sachant qu'ils vont appeler la police

L'infirmière

* entre dans la chambre
- la police sait que vous êtes la. Elle vous interrogera demain matin à 8 heures. Vous avez 24 heures pour réfléchir à vos actions.

John

* regarde la porte sachant qu'ils vont appeler la police

L'infirmière

-...

John

* regarde la porte sachant qu'ils vont appeler la police
* s'en fiche d'elle

L'infirmière

- je vous parle !

John

* regarde la porte sachant qu'ils vont appeler la police
* s'en fiche d'elle
- Oui ?

L'infirmière

- la police arrivera demain.

John

* regarde la porte sachant qu'ils vont appeler la police
* s'en fiche d'elle
- Bien

L'infirmière

- ça ne vous gêne pas ?

John

* regarde la porte sachant qu'ils vont appeler la police
* s'en fiche d'elle
- ça ne vous regarde plus

L'infirmière

* serre les poings
- qu'est ce que Tyler a fait pour mériter ce qu'il lui est arrivé ? Il vous a sauvé la vie et c'est comme ça que vous le remerciez ? Je n'ai rien contre vos actes passés sinon un dédain profond. Mais lui c'est différent.

John

* regarde la porte sachant qu'ils vont appeler la police
* s'en fiche d'elle
- Pour être honnête j'en ai aucune idée de se qui a bien pu se passer.

L'infirmière

- c'est ça...

John

* regarde la porte sachant qu'ils vont appeler la police
* s'en fiche d'elle
- J'étais endormi c'était a quelqu'un de surveiller..

L'infirmière

-... a cause de l'anesthésie mais oui pourquoi j'y ai pas pensé
* s'en veut
- vous ne lui avez... rien fait du tout ?

John

* regarde la porte sachant qu'ils vont appeler la police
* s'en fiche d'elle
- Non au contraire...

L'infirmière

* hésite
- excusez mon comportement c'est juste que... qu'il est sortir du bloc pour lui extraire une balle à l'artère fémorale et que quand il a ouvert les yeux il a demandé pour vous un croissant et cinq minutes plus tard il passait les 42 de fièvre à cause d'une infection parce que la balle était sale. Alors je... je pensais que vous l'aviez fait exprès et... il est de nouveau au bloc et... j'ai mal pour lui...

John

- Je ne ferais jamais de mal .. et je suis vraiment désolé pour lui, c'est quelqu'un de très bien.

Linfirmiere

* sourit tristement
- vous serez son dernier patient je crains... mais si il vous a opéré c'est qu'il vous jugeait digne de l'être

John

- C'est un honneur pour un si bon médecin.